Représentation de la littérature carcérale à travers Le Dernier JOUR d’un Condamné à Mort de Victor Hugo et Les Chiffons de Papier de la Prison de Bozorg Alavi
Il y a longtemps que « la représentation littéraire » attire l’attention des écrivains et des philosophes. En effet, nous affrontons une masse de théories chez les hommes qui essayaient de représenter la plus réelle représentation des référents réels. En progressant des idées, le rôle de la représentation des référents et leurs interactions avec la fiction devient un élément indispensable dans tous les genres littéraires ainsi que la littérature carcérale. Celle est une branche de la littérature qui nous donne la possibilité d’étudier des écrits sur la prison. En adoptant cette perspective, nous nous proposons d’effectuer, une étude comparative de deux romans français et persan, intitulés Le Dernier jour d’un condamné (Hugo, 1829) et Les Chiffons de papier de la prison (Alavi, 1321/1942). Mais comment cette interaction du référent et de la fiction se manifeste-t-elle dans la littérature carcérale ? Pour répondre à cette question, nous avons tenté d’analyser les champs de référence selon la théorie de Benjamin Hrushovski.
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