Etude analytique de la traduction française du poème "Ney Nameh" de Mowlânâ par Leili Anvar suivant l’approche d’André Lefèvre
Cet article se fixe comme ambition d’expliquer, après avoir dûment défini la théorie lefèvrienne, à l’appui de la méthode d’analyse descriptive textuelle, la traduction française du " Ney Nameh" de Mawlânâ par Leili Anvar en mettant l’accent sur le modèle septénaire d’André Lefèvre. Il s’agit de savoir dans quelle mesure ce modèle septénaire peut être appliqué à la présente traduction et quelle stratégie la traductrice a-t-elle mise en oeuvre? Les résultats de la recherche révèlent bien qu’il est impossible que les structures polysémiques, le style, les artifices rhétoriques, les métaphores, les allusions, le sens connotatif des images employées par Rûmî se coulent aisément dans le moule du français ; alors malgré la virtuosité de la traductrice, ses efforts dans la présente traduction convergent plutôt vers une traduction rimée ou littérale, voire une traduction en prose ou une interprétation. En effet, il lui a paru impossible de trouver un équivalent dynamique entre le texte source et celui d’arrivée.
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